Athénée Théâtre Louis-Jouvet | Concerto contre piano et orchestre
Grande Salle • 1h20 • Théâtre musical
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Présentation

Dans la longue série des concertos qui ont traversé les trois derniers siècles, l’Orchestre La Sourde avait créé en 2021, en ouverture de saison de l’Athénée, une forme nouvelle : le concerto contre. Un concerto qui donne de la voix et fait valoir ses humeurs musicales, un concerto contre. Contre piano et contre orchestre. Une opposition autant qu’un rapprochement, comme on peut être contre ou tout contre. Une expérience portée par une équipe expérimentée : Samuel Achache, metteur en scène et musicien, Eve Risser et Antonin-Tri Hoang (tous deux passés par l’Orchestre national de jazz), et Florent Hubert (avec qui Achache était associé sur les opéras revisités Crocodile trompeur et l’Orfeo, je suis mort en Arcadie).

L’orchestre va note à note explorer la forme concertante, avec pour point de départ le Concerto Wq 43/4 pour clavier de Carl Philipp Emanuel Bach (1714- 1788). Cette pièce du fils cadet de Jean- Sébastien, composée en 1772 et issue de sa série de concertos hambourgeois, œuvres de la maturité, parachève sa maîtrise du genre comme elle la perturbe par certaines expériences nouvelles. Le flambeau de la recherche est désormais entre les mains de l’orchestre la Sourde, collectif qui brasse jazz et classique, instruments modernes et d’époque, composé de musiciens et de musiciennes qui accompagnent le travail de Samuel Achache au fil de ses spectacles.

C’est un travail de longue haleine que mène cette joyeuse bande, « écouter le théâtre et regarder la musique », toujours à chercher à tâtons de nouveaux points de jonction où l’œuvre et l’instrumentiste se confrontent et se retrouvent en musique, mais aussi en mots, pensées, avancées langagières… L’orchestre bouge et la musique de C. P. E. Bach se déplace, on la regarde tourner, on l’écoute se transformer au fil des quatre mouvements. Des portes cachées aux marges des textes et partitions s’ouvrent alors sur scène et dévoilent aux spectateurs la richesse de territoires inédits.


Dans la longue série des concertos qui ont traversé les trois derniers siècles, l’Orchestre La Sourde avait créé en 2021, en ouverture de saison de l’Athénée, une forme nouvelle : le concerto contre. Un concerto qui donne de la voix et fait valoir ses humeurs musicales, un concerto contre. Contre piano et contre orchestre. Une opposition autant qu’un rapprochement, comme on peut être contre ou tout contre. Une expérience portée par une équipe expérimentée : Samuel Achache, metteur en scène et musicien, Eve Risser et Antonin-Tri Hoang (tous deux passés par l’Orchestre national de jazz), et Florent Hubert (avec qui Achache était associé sur les opéras revisités Crocodile trompeur et l’Orfeo, je suis mort en Arcadie). L’orchestre va note à note explorer la forme concertante, avec pour point de départ le Concerto Wq 43/4 pour clavier de Carl Philipp Emanuel Bach (1714- 1788). Cette pièce du fils cadet de Jean- Sébastien, composée en 1772 et issue de sa série de concertos hambourgeois, œuvres de la maturité, parachève sa maîtrise du genre comme elle la perturbe par certaines expériences nouvelles. Le flambeau de la recherche est désormais entre les mains de l’orchestre la Sourde, collectif qui brasse jazz et classique, instruments modernes et d’époque, composé de musiciens et de musiciennes qui accompagnent le travail de Samuel Achache au fil de ses spectacles. C’est un travail de longue haleine que mène cette joyeuse bande, « écouter le théâtre et regarder la musique », toujours à chercher à tâtons de nouveaux points de jonction où l’œuvre et l’instrumentiste se confrontent et se retrouvent en musique, mais aussi en mots, pensées, avancées langagières… L’orchestre bouge et la musique de C. P. E. Bach se déplace, on la regarde tourner, on l’écoute se transformer au fil des quatre mouvements. Des portes cachées aux marges des textes et partitions s’ouvrent alors sur scène et dévoilent aux spectateurs la richesse de territoires inédits.

Distribution

Batteries Thibault Perriard • Piano Eve Risser • Trompettes Olivier Laisney, Samuel Achache • Clarinettes, saxophones Antonin-Tri Hoang, Florent Hubert • Flûte Anne-Emmanuelle Davy • Cor Nicolas Chedmail • Violons Marie Salvat/Juliette Leroux, Boris Lamerand • Violes de gambe Agnès Boissonnot Guilbault, Pauline Chiama • Violoncelles Gulrim Choï, Myrtille Hetzel • Théorbe Thibaud Roussel, Léo Brunet • Contrebasses Mattieu Bloch, Youen Cadiou/Caroline Peach • Lumière César Godefroy, Maël Fabre • Costumes Pauline Kieffer

Production déléguée : Compagnie ReVeR. En coproduction avec : La Sourde, La Soufflerie à Rezé. Avec le soutien de : l’ADAMI, de la SPEDIDAM, de la SACEM, du CNM, de la DRAC et de la Région Grand Est, du Théâtre de la Renaissance à Oullins. La compagnie remercie le Théâtre de l’Aquarium et Bonnefrite.



Dates et horaires des représentations

On en parle...
"Le spectacle Concerto contre Piano et Orchestre [...] est un enchantement, une merveille de trouvailles musicales et scéniques, de performances, d'humour... et de tendresse." - Classique mais pas Has Been -
"C'est beau, c'est drôle, c'est épatant !" - Médiapart -
'Les musiciens évoluent donc dans l'espace, les instruments à vent flirtent avec les cordes, bref, tous les codes de l'orchestre classique ont été déconstruits...et on assiste donc à une pièce de théâtre musical' - France Musique -
'Abondant en surprises et se singularisant par son style déroutant' - Musikzen -