Avec cet opéra pour voix seule, électronique et “piano simplifié à l’extrême”, Dmitri Kourliandski sur un poème en sept parties de Nastya Rodionova, et le metteur en scène Antoine Gindt proposent une variation contemporaine sur le mythe d’Eurydice. Un monde d’obscurité et d’hallucinations sonores, où flotte encore, incandescente, la mémoire d’Orphée… Rôle confié à un interprète de légende : Dominique Mercy, danseur emblématique de la compagnie Pina Bausch de 1974 à 2009.